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Détour vers Tokyo – Partie 4

Près de six mois après que la pandémie de COVID-19 a entraîné la fermeture du centre d’entraînement de Rowing Canada à Victoria, en Colombie-Britannique, je suis enfin de retour et je m’entraîne avec l’équipe!

C’est un sentiment tellement agréable d’être de retour sur l’eau — le son de la prise et l’élan gracieux du bateau — mais il y a beaucoup de changements dans la façon dont nous fonctionnons. 

Nous nous entraînons actuellement sur des bateaux plus petits et cela signifie que je rame en couple avec mon coéquipier Bayleigh Hooper. Une paire est beaucoup plus sensible aux mouvements qu’une équipe de quatre et cela nous oblige à nous concentrer beaucoup plus sur tous les petits détails — ce qui est une bonne façon de commencer la saison.

Les malheurs des ampoules! Je retourne généralement à l’aviron à l’automne et je porte des gants extensibles pour faciliter la transition. Comme c’est la fin de l’été, je n’ai même pas pensé aux gants. En conséquence, mes mains ont pris un véritable coup de fouet sur les manches de rame. Il y a eu des jours où je n’arrivais même pas à tenir la poignée du harnais d’Alan parce que ma main était tellement rêche et pleine d’ampoules. Mes mains commencent enfin à s’endurcir, alors ça devrait devenir plus facile!

Victoria Nolan prenant un égo-portrait avec son masque rouge Rowing Canada AvironLes protocoles d’hygiène ont facilité les déplacements au sein du club. Nous sommes en groupes désignés de six athlètes et chaque groupe a une heure d’arrivée distincte, de sorte que nos chemins ne se croisent pas. Il est donc beaucoup plus facile de se déplacer sans la foule d’athlètes qui va et vient.

Nous portons toujours des masques, sauf quand nous ramons. Même lorsque nous quittons le quai et que nous y entrons, nous devons porter notre masque. Heureusement, nous avons de beaux masques Rowing Canada, ce qui rend la transition un peu plus facile.

Après l’activité d’aviron, il y a un processus de nettoyage en trois étapes pour tout l’équipement, puis nous devons partir immédiatement pour laisser la place au groupe suivant.

Autre avantage : la transition vers un environnement de travail entièrement à distance m’a permis de poursuivre plus facilement mon travail avec les Chiens guides d’INCA de Colombie-Britannique (je réside en Ontario). Je suis très reconnaissante à INCA pour sa souplesse.

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